Histoire du dernier terrien validé

Aiglalis
Je suis né un beau jours de printemps en premier. peu après, j'entendais près de moi, l’œuf de mon frère se craqueler et d'une voix douce, notre mère nous attirait sous ses ailes chaudes et protectrices. Contre mon ouïe, j'écoutais son cœur battre doucement, ce qui était une chose rassurante pour moi. Puis un grand aigle étant, sans doute, le plus majestueux qu'il n'ai pu existé, se déposa sur le bord du nid. Et avec la plus grande tendresse et d'un doux regard, félicita maman de nous avoir eu. Les jours passèrent tel le sable s'écoule dans un sablier. Au bout de la troisième semaine  arriva le jours fatal  qui allait changer changer ma vis jusqu'à ce que la mort ne survienne. Mes parant étaient absents étant partis chassé. Nous étions donc seul  mon frère et moi. Seul? et bien non car un prédateur nous guettait dans le ciel: un autre aigle. Il voulait sans aucun doute nous tuer car j'avais entendu dire que les proies se faisaient de plus en plus rare. cet aigle plongea alors sur nous . Paniqué, je le voyais alors enfoncer ses serres puissants dans la chaire de mon frère sue je voyais mourir sous mes yeux innocents. Le sang se vidait de son corps et des larmes giclaient de mes yeux. Puis je vus cet aigle prendre le coup de mon frère et le tordre d'un coup sec  où mes oreilles répètent encore  ce craquement d'os. ce fus alors les dernières images qui apparurent à mes yeux. Des images terribles accompagnés de souvenirs terribles. Cet aigle m'avait poussé dans le vide. Ma tête cogna la roche. Le noir s'était installé. J'aurais pu mourir mais, la nature en décidé autrement: j'était devenu aveugle. Mon regard sera fixe à jamais. Ma mère, quand elle fut revenu, fut saisi dune haine terrible voyant le sang de mon frère. Et tel une mère est quand elle père son enfant, elle se vengea sur moi.
"Tu n'es qu'un misérables et les puissants t'ont punis en enlevant ta vue. Tu aurais du sacrifier pour mon fils! Tu ne mérites pas que je t'élève  alors tu périras par la faim comme les puissants le veulent! Meurt de ton crime!" Elle me la dit et a accompli sa prophétie. Mon père ne pouvait rien faire contre ceci. Il dit quand même me déposant au sol avec regret: "Ta mère ne sait plus ce qu'elle fait. Sa souffrance est profonde comme la mienne l'est de te quitter. Même si tu ne le penses pas, elle t'aime. Ne l'oublis pas."

Je marchait où le hasard me menait puis m'endormis à l'abris d'un buisson que la lune illuminait de son rayon bleuâtre. En vérité, c'était mon imagination qui travaillait. Pour la première fois, je m'étais réveillé dans le noir. Je ne pouvais alors, pas savoir si il faisait toujours nuit. Mes points de repères étaient perdus. Tout d'un coup, j'entendis quelqu'un s'approché. Étais-ce maman? Non. On me saisis par la gorge. Je voulus me débattre mais je me faisais mal mutuellement. Où m'emmenais-je? On me déposa dans une tanière et des petits pas précipités se jetèrent sur moi. Celle qui m'avais pris leur parla alors d'un langage inconnu. C'est là que je compris que j'étais au milieu d'une famille. De quel animal? Mystère... J’appris rapidement leur langage et ce fut eux qui m'élevèrent. La mère qui était maintenant la mienne me décrivait se qui m'entourait. J'étais dans une famille de coy-loup. Et dans cet famille, j'appris aussi à développer mes quatre autres sens et un cinquième. Je pouvais détecter les ondes magnétiques. Et selon leur fréquence et les mouvement d'aire, je reconnait chaque individu et l'activité urbaine. Mais pourquoi ai-je vécu tant de souffrance? La raison est que les hommes nous polluait, contrôlait, emprisonnait, et prenait se qu'on avait besoin pour vivre: territoires et nourritures. Affamé, un aigle avait tué mon frère et m'a rendu aveugle. J'ai choisis vengeance et la justice me guide...